• Deux ou trois choses que je sais de nous, abonnés Médiapart

        Afin que rien ne se perde… jamais, ici et partout ailleurs !

     

    Billet rédigé à la suite de la parution d’un publi-reportage signé Antoine Perraud sur Enzo Traverso (consultation réservée aux abonnés ! DSL) auteur de : Où sont passés les intellectuels ?  

     

    Et Perraud d’y aller de sa plume toujours aussi révélatrice (un véritable lapsus à lui tout seul ce Perraud…) : " … comme de nombreux cerveaux du Vieux Continent, on le trouve (Traverzo) au Nouveau Monde : à Cornell, très sélecte université privée de l'État de New York, où il enseigne l'histoire des fureurs européennes contemporaines."

     

             On aura noté que Perraud reprend à son compte le vocabulaire des néo-conservateurs américains : une vieille Europe (ringarde, et tout et tout et tout…) contre les USA, le nouveau monde… (USA à la page et à la pointe et tout et tout et tout !)

     

                                                                                      ***

     

                     Et les premiers commentaires de tomber suite à la publication du publi-reportage de Perraud :

     

    _______________Le flagorneur court, bref, et précis…  sans doute auto-contraint, genre : « Faut que je dise quelque chose ! Faut que je laisse un commentaire sympa !) :

     

    21/02/2013, 16:28 Par Philippe Corcuff

    « Merci à Enzo Traverso pour ce point de vue décapant et néanmoins sensible ! »

     

                        - Monsieur Corcuff , lui aussi universitaire, envisage-t-il un petit voyage à NY tous frais payés à l'invitation de Traverso ?

     

    ___________________Toujours dans le domaine de la flagornerie, mais… version longue celle-là ! Le flagorneur bavard donc :

     

    23/02/2013, 13:52 Par Monic


    « Voilà un philosophe ( ?! Où ça ? ndlr) que je lis depuis le début et il n’est pas étonnant qu’il travaille aux USA, notamment dans cette université exceptionnelle qui est celle de Cornell. Quant à l’intérêt de cette entrevue, MERCI, parce que nous remarquons que le travail intellectuel mené même si c’est un italien qui nous parle ici, aux USA est très pertinent, lucide, moins idéologisé, moins misérophile, très au «parfum» du temps qui court, qu’en France (je ne dis pas Europe). La filiation Kracauer, Benjamin, Scholem etc, etc...  ( trop long bien sûr parce que trop bavard, aussi on abrègera...)… Merci pour cet excellent travail. »


    _____________________S’ensuit alors un premier commentaire de votre serviteur  (NB : j’ignorai alors que Perraud était l’auteur du publi-reportage et que Corcuff y avait déposé un commentaire. Sérieux !) :


    "Où sont passés les intellectuels ? Ben, y a Corcuff, non ?

    Quoi ? C’est pas ça ?

     (Je plaisante !)

    Plus sérieusement... Où sont passés les intellectuels ? Ils sont sur Internet : universitaires et journalistes repentis, francs-tireurs, free-lancers, à la tête de think-tanks alternatifs...

    Votre question à quelque chose de... comment dire.... d'obsolète ! Oui, c'est ça ! Obsolète et comme bornée ! Vous attendez un nouveau Sartre, un Foucault, un Deleuze, un Derrida.... mais là encore une fois : sortez donc des campus, des écoles normales, de science-po et des fiefs sclérosés des carrières intellectuelles qui n’ont pas grand-chose à voir avec la pensée du même nom...

    Les artistes ne sortent plus des conservatoires ni des écoles d'art, idem pour les intellos… car la pensée va là où elle peut s’épanouir, s’étendre et communiquer…là où elle est considérée, là où elle reçoit un accueil, une oreille attentive…

    Oui ! Sur Internet ! Ailleurs, plus rien de sérieux n’est possible, excepté les sempiternelles réflexions autour de l’histoire des idées (celle d'hier concernant un autre monde)… certes ! ça ne mange pas de pain… et tout le monde continue de dormir sur ses deux oreilles.

    Tous les gens sérieux, dangereux et importants savent ça, auteurs, producteurs de contenus et lecteurs confondus : sur le Net ça grouille d'intellos, de collectifs de toutes sortes... avec des BAC+ 10 ras la gueule....

    C'est pas pour casser l'ambiance mais... encore dix ans et des gens comme votre auteur et ce type d'ouvrage seront balayés : il n'y a jamais eu autant de "pensée - de choses pensées " que depuis Internet car, les langues se sont déliées.

    Où sont les intellectuels ? Question myope."

     

    ____________________________En réponse, le commentaire d’un abonné très inspiré :


    22/02/2013, 16:35 Par papyscha

     

    « Myopie d’un monde, Internet, qui fait vivre l’intellect dans les foyers et condamne irrémédiablement Nazisme, Stalinisme et toutes formes de pensées alignées, sur un guide, un penseur… un intellectuel. L’homme est la diversité, un cerveau, une pensée, unique, irremplaçable ; des milliards, connectés. Demain, sur sa tablette, tous les Islamistes du Sahel, pays de lumières, liront ce qui s’écrit ici. Ils répondront pour signifier qu’ils sont, eux aussi, des intellectuels, pas des Islamistes, que l’avenir de l’homme n’est plus dans la croyance mais dans la créativité. Et ne casseront plus les tablettes d’argile. Intellectuels comme tous les hommes, ils les liront et nous apprendront à les comprendre et respecter comme « Le Capital », description ultime d’une société éteinte, en extinction, qui a toujours repoussé cet « homme universel et intellectuel ».

     

    ___________________Puis une seconde intervention de votre serviteur en réponse à ce commentaire-ci (notez le ton de ce commentaire  comme si, devant Perraud, on s'excusait presque d'apporter un peu de contradiction... ) : "… mais forger de nouvelles utopies depuis Cornell, très sélecte université privée de l'État de New York relève tout de même d'une certaine forme de cynisme, ou tout du moins de mauvaise ironie...mais peut être n'est-ce qu'un détail."

                           

    "L'argent n'a pas d'odeur lorsqu'il s'agit de passer à la caisse.

    La présence de cet intello dans une Université à deux millions de dollars n'est pas une contradiction : si vous relisez les propos de ce "penseur", vous verrez qu'il ne cesse d'avoir à l'esprit son portefeuille et plus encore... celui des autres : ses propos ne dérangeraient aucune banque et ni ceux qui les font prospérer et pas davantage la main qui le nourrit..

    Dites-moi ce que vous êtes disposé à perdre, à abandonner, ce à quoi vous avez renoncé et je vous dirai aussi qui vous êtes et d'où vous parlez.

    Là maintenant, je pense à Michéa, aujourd'hui encore, prof dans un lycée public à 2500 euros par mois. Et quand on connaît son apport... sur un plan intellectuel...

    C'est bien connu : plus on gagne d'argent moins on pense... pour justement ne pas avoir à se demander d'où il vient et pour-quoi on vous en donne autant : qu'est-ce que c'est que l'on cherche à acheter en nous et de nous."

     

    _____________________Puis un troisième commentaire à propos de ceci : "L'islam incarne la domination et le pouvoir dans de larges parties du monde" : propos tenus par notre professeur émérite Traverso qu’on nommera pour l’occasion Traversin (rapport au sommeil suite à la lecture son interview) :

     

    "Votre penseur prend les capacités de nuisance d'une religion telle que l'Islam et de coutumes locales auprès de masse de sans-travail illettrés et de chômeurs diplômés qui se comptent par centaines de millions, d'éleveurs de chèvres, de femmes au foyer avec dix marmots à nourrir et à élever, pour ce qu'il conviendrait d'appeler "de la domination et de l’exercice du  pouvoir " alors que cette religion est le plus souvent instrumentalisée avec la complicité de l’Occident auprès de population traitée comme des chiens au nom de stratégies de domination bien réelles celles-là et qui n'ont rien à voir avec l'Islam et les Musulmans et le caractère arriéré ou non de leurs sociétés mais tout à voir en revanche avec le chantage suivant  : soumission ou chaos... au bénéfice d'une seule grande puissance, de ses multinationales et de trois ou quatre pays satellites.

    Au moins, sait-on d'où votre prof parle.

    Quand on vous dit que dans dix ans, tous ces gens-là seront balayés même s'il restera toujours des "Perraud" pour leur tendre un micro dans un désert de plus en plus désertique ; celle d'une pensée qui n'accepte jamais de payer le prix du courage et de l'audace."

     

    _________________________Et fatalement arrivent les regrets, du fond de son tombeau…

     

    22/02/2013, 18:07 Par Antoine Perraud

    "Il est regrettable que le déroulé de commentaires, dont il faut donc se détourner, soit colonisé par un troll rouge-brun sectateur de Dieudonné (Serge ULESKI) et un troll paraphrénique (Bernard BIGENWALD). Enzo Traverso et ses livres méritent mieux que cet étalage."

     

    ____________________Et votre serviteur de lui répondre car il ne faut pas le tenter :


    "Rouge-brun : insulte-anathème proférée à la face de tous ceux qui seraient tentés de leur demander de rendre des comptes, le plus souvent par des hommes dits "de gauche", tartuffes pris en flagrant délit de "penser et d'agir à droite".

    Dieudonné ? Vous avez dit Dieudonné ? Mais... Dieudonné : combien de divisions, combien de multinationales, combien de morts, de crève la faim, combien de centres de tortures, combien de camps de la mort, combien de veuves et de veufs, combien d'orphelins, combien de chômeurs, combien de suicides, combien d'enfants partis en fumée ?

    Perraud me fait penser à cette anecdote : "Je me souviens du triomphe de l’équivalent de la novlangue d’Orwell. Je me souviens que cet événement est passé totalement inaperçu ; et en premier lieu auprès de ceux qui n’avaient pas cessé d’en dénoncer son utilisation insidieuse ; en effet, ces derniers avaient commencé d’en faire usage il y a longtemps déjà, et ce à leur insu."

     ***

    Chaque interview de Perraud est un publi-reportage ; aucun travail de journaliste n'est fourni, aucune approche journalistique ni critique ; il tend le micro et passe les plats. 

    Avec Traverzo, dans le contexte d'un intello dit "de gauche" enseignant dans une Université pour upper-class (frais de scolarité sans doute situés entre 40 000 et 100 000 dollars), pourquoi ne pas l'interroger sur son public, sur ses élèves ?

    Qu'est-ce qu'il croit leur apporter ? Qu'est-ce qu'ils en retiendront ? Quel usage en feront-ils ?

    Et puis aussi à propos de ceci – c’est Traverso qui parle : «Nous sommes dans une situation de transition. Le monde forgera sans doute de nouvelles utopies et il faudra bien qu'elles soient définies ou systématisées. À ce moment-là, nous aurons besoin de nouveaux intellectuels. »

    Quand on est journaliste, on peut lui demander  ceci : vous comptez commencer quand à réfléchir à toutes ces utopies… retranché dans votre université à deux millions de dollars ? Parce que si c’est pour vous pointer après le travail accompli… c’est pas la peine !"

     

    ______________________Autre commentaire… disons de synthèse livrant ainsi le fond de ma pensée :


    "Où sont les intellectuels aujourd'hui ?..

    Il faut bien reconnaître que ceux qui ont la fâcheuse habitude de poser cette question et d'autres encore de même acabit, avec le même souci - Hier, c'était quand même autre chose qu'aujourd'hui ! -... sont plutôt situés  - parce qu'il faut bien les situer même si ces gens-là sont partout et nulle part, et notamment là où ils enseignent et là où leur carrière les envoie -, au centre droit, voire au centre gauche mais mou, très mou alors ! et rarement bien assis à gauche et moins encore à l’extrême gauche.

    Pour le dire autrement, disons que tous ces questionneurs sont généralement et quand même, du bon côté du manche, du côté de ceux qui cognent. Certes, ça ne fait pas d'eux des brutes ou des salauds mais... force est de reconnaître qu'ils sont plutôt du côté de ceux qui donnent les coups et rarement du côté de ceux qui les reçoivent, même s'ils se tiennent au loin, passifs et voyeurs.

    Aussi, le soupçon suivant pointe le bout de son nez : "Où sont les intellectuels aujourd'hui ?" peut aussi vouloir dire : "Dans la sphère intellectuelle, où sont ceux devant lesquels tout le monde se tait et se met au garde-à-vous quand ils parlent ?" et puis fatalement : "Qui sont tous ces cons qui se mêlent de ce qui les regarde après l'avoir lontemps ignoré ?"

    Ce qui cadre plutôt bien avec le lieu que Enzo Traverso le prof  fréquente ainsi que son lapsus à propos d'un "L'islam incarne la domination et le pouvoir".

    ***

    Sinon, votre Enzo Traverso qui semble traverser le siècle sur la pointe des pieds, sols en marbre et en chaussettes (sans doute pour ne pas réveiller les actionnaires-commanditaires-mécènes de son Université à 100 000 dollars la scolarité), il a trouvé quoi ? Il a mis la main sur quoi ? Qu'a-t-il saisi du réel qui nous aurait échappé ?

    Enfin quoi m....! Il a troué le cul de quelle réalité ??????"

     

    _____________________Et notre flagorneur bavard de faire son retour et de rétorquer, volant au secours de Traversin qu’il devait sentir en danger, en « spider man » de la défense de ceux qui, intellos ou pas, ne paient jamais le prix du courage ni de l’audace.

     

    23/02/2013, 12:16 Par Monic

    en réponse au commentaire de Serge ULESKI le 23/02/2013 à 11:19

     «votre Enzo Traverso :

    « il a trouvé quoi ?

    «Il a mis la main sur quoi ?»

    «Qu'a-t-il saisi du réel qui nous aurait échappé ?»

    (Serge Uleski)

    Savez pas lue l'entrevue, vous? Commencez par ça.

    Sinon Enzo Traverso est édité en France depuis 1990.

    Alors la réponse est simple à vos questions: lisez ses travaux et revenez nous voir moins ignorant.

    Vous nous faîtes encore le coup de critiquer un auteur dont vous n'avez JAMAIS entendu parler, que vous ne lirez jamais. Vous recommencez à être ridicule comme ici dans ce lien avec votre «idée» du fascisme:

    Il est vrai que le cul-ture est votre monde intllectuel."

     

    _____________________________Ma réponse... parce que... la bêtise prospère et se développe si on cesse de la dénoncer 23/02/2013, 12:26 Par Serge ULESKI en réponse au commentaire de Monic le 23/02/2013 à 12:16


    "Ben oui, j'ai pas lu votre Traverso-taversin. D'où ma question : il a troué le cul de quelle réalité votre penseur ??????

    Même si j'ai déjà la réponse suite à cette interview, et à la lecture de celui qui pose les questions et ceux qui sur ce fil  tressent des lauriers à ce Traversin car tout est lié : celui pose les questions, celui qui y répond et ceux qui se félicitent et des réponses et des questions..

    Ignorez-moi (abonné Monic) puisque je suis si insignifiant que ça.

    De plus, franchement, j'ai pas le temps de me pencher sur votre cas même si je m'en suis déjà occupé : "Vous  n’êtes manifestement que ce que les hasards de la naissance ont fait de vous. Vous  n’avez rien choisi. Vous n’avez donc fait que subir.  Et quand on sait que ce qui est important chez un être humain c’est bien ce qu’il a choisi d’être indépendamment de ce que sa naissance a pu déterminer chez lui. C’est sans doute la raison pour  laquelle vous avez tant de mal avec  la critique, toute remise en cause de ce qui est : les hommes  et les systèmes établis. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle vous ne faites que… commenter. Vous n’avez poster aucun billet depuis que vous êtes abonné ; quelques copié/collé. Vous n’avez aucune voix personnelle.Vous êtes manifestement un adepte de la castration. Votre culture, c'est du bromure."

     

    ________________Et notre flagorneur auprès des puissants mais pourfendeur des sans grade et des petits, abonné Monic 3/02/2013, 13:00  hurlant au fascisme dans son ignorance de ce qu'est réellement le fascisme, même si, plus grave encore, il se vante d'avoir tout lu à ce sujet. En réponse au commentaire de Serge ULESKI le 23/02/2013 à 12:56

     

    "Ça c’est un vrai langage de facho, de ceux qui ne lisent pas.

    Je ne peux vous ignorer parce que votre bêtise déborde du fil."

     

    ___________________________________ Développement et récapitulation de votre serviteur, jamais pris de court. Normal, puisque c'est moi qui mène la course et la danse :

     

    "Pour le fascisme que vous mettez à toutes les sauces faute de comprendre ce que c'est... vous repasserez ! Si vous voulez me prendre en faute, ne vous couchez surtout pas car alors, vous seriez assuré de vous être levé trop tard, toujours trop tard.

    J'ai une tête bien faite pour avoir lu et continuer de lire des auteurs qui en ont une aussi, sans parler de ce que j'en retiens.

    Cher abonné Monic, votre culture, ce n'est pas les auteurs que vous avez lus, c'est ce qui vous reste une fois que vous avez refermé leurs livres : et en ce qui vous concerne, dans chacune de vos lectures, vous semblez y avoir abandonné toute personnalité, tout esprit critique, tout esprit de vigilance, tout caractère, tout esprit de conquête... vous avez manifestement lu en pure perte.

    Heureusement que vous avez ouvert un ou deux livres dans votre vie, dans le cas contraire vous seriez affalé dans un divan, un pack de bière à vos pieds, face à un écran géant à regarder Marseille/PSG.

    Au lieu de ça, vous vous affalez devant un Traverso ou un Sternhell. Pour quel profit ?

    Finalement, votre culture (ce qui vous reste de vos lectures !) et celle des matchs de Foot, c'est un peu la même chose quand on sait comment vous raisonnez ou bien plutôt, comment vous ne raisonnez pas et jamais de vous- même par vous-même et pour vous-même, jusqu'au jour où d'autres auraient pu se reconnaître en vous.

    Force est de conclure même à titre provisoire : Y a des gens qu'on devrait interdire de culture quand on sait ce qu'ils en font et quand on pense à ce qu'en feraient ceux qui en manquent cruellement."

     

                                                                               _______________

     

              

                Mais alors… et encore une fois, qui nous bouleversera au-delà de tout ce qu’on avait imaginé pour soi ? Qui viendra nous écarteler, béant ? Qui nous terrassera ? Qui nous fendra en deux comme une bûche ? Qui éclairera une réalité bouleversante et incontestable dans sa justesse et son inspiration, témoin indiscutable d‘années de recherche et d’apprentissage solitaires et têtus, car, cette vision-là nous restituera alors ce qu'il ne faut jamais perdre : le toucher immédiat de l‘esprit qu‘est le talent lorsqu'il s'appuie sur un intellect de force, d'audace, de témérité et de victoire.

           

                                                                                             ***

     

                          A chacun son panthéon personnel...mais qu'il soit permis ici d'avoir une pensée pour tous ces intellectuels quasi christiques... intellectuels qui auront tout sacrifié pour notre bien commun à tous.

     

    ______________________

     

    Pour prolonger cliquez http://www.litterature-serge-uleski.com/article-antoine-perraud-et-l-art-de-la-conversation-a-la-francaise-112406563.html


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